Lorsque l’on s’intéresse aux jeunes dans les médias, la plupart du temps, il s’agit surtout d’audience, de désintérêt, de réseaux sociaux, de fake news… On en parle positivement quand un titre parvient à capter leur attention et souvent négativement pour tout le reste. Si les jeunes sont consulté·es à titre indicatif, leur parole reste cependant inaudible. Pour une fois, écoutons ce qu’ils et elles ont à raconter : accordons leur du temps.
Dans ces portraits d’une à deux minutes, laissons leur un peu de place, sans pour autant en faire les porte-paroles d’une génération. Écoutons-les car ils et elles ont des choses à dire, des goûts, des envies, et des critiques à émettre sur les médias, dont ils attendent beaucoup.